mardi 22 mai 2012

[Diary Tuesday] The Sheep Trial



- Salut, les amis ! C'est Josh ! On s'est rencontrés la semaine dernière. Vous ne vous souvenez pas ? Je suis vexé ! Enfin, si vous voulez faire connaissance proprement, venez par ici et rattrapez votre affreux retard ! La semaine dernière, avec ces fous de Holden et Adriel, j'ai tenté - avec succès ! - de vous présenter le concept du Diary Tuesday. Ils ont un peu saccagé tout le travail avec leurs idioties mais on en a vu le bout. Cette semaine, ça sera plus sérieux (on va essayer, en tout cas). Nous allons parler de moutons.
- Bêêêê !
- Je vous présente donc notre premier invité qui s'est si bien introduit : Adriel. Ce type est censé être notre Sauveur, vous savez. C'est le beau gosse sur le header du site. Il prétend que le fait d'être le Fiachra est "lourd à porter" mais il n'en est rien et fera partie de l'accusation...
- Hé ! T'as pas lu les bouquins ou quoi, toi ? T'as pas vu tout ce que je subis ?
- Non et, franchement, je doute que ça soit si terrible puisque tu bavasses encore.
- Lis un peu les deux tomes écrit et tu verras si c'est pas lourd à porter, ma Destinée.
Adriel boude.
- Nous avons aussi l'avocat du diable en la personne de la radieuse et ensoleillée Vitany...
- Quel gentleman !
- Un crétin de Don Juan, plutôt ! Arrête ton numéro, joli coeur.
- Adriel ! Tu pourrais être plus aimable.
- Je ne suis pas aimable, tu le sais. Tu m'as dit plus de cent fois quel conn*rd j'étais.
Vitany soupire.
- Bon, ils sont déjà en train de se quereller et le procès n'a même pas encore commencé ! Ces deux-là ne sont pas croyables.

Later...
- Et si commencions maintenant que vous vous êtes bien échauffés ?
- Allons-y.
- Vous êtes chous à parler en choeur. Bref, pas la peine de me fusiller du regard ! Commençons. Que l'accusé se lève.
- Bêêêê !
- Les charges retenus contre l'accusé sont... eh bien : d'être un hypocrite patenté dont la faiblesse met en danger la survie de l'humanité. Que l'accusation procède. J'aimerais bien voir en quoi un mouton met en danger notre survie.
- C'est très simple. Les moutons sont faibles. Ils ne servent pas à grand-chose, en plus mais ça, c'est une autre histoire. Je ferais une fleur à la défense en parlant vêtements. Je disais donc que les moutons sont des animaux d'une faiblesse et d'une stupidité confondante. Ils ont un cerveau commun. Ils partagent tous les mêmes pensées, les mêmes réactions. Il sont tous reliés les uns aux autres et aucun ne ressort concrètement. Ils se font bouffer par les loups parce que, s'il y en a un qui le fait, ils le font tous ! Franchement, vous n'allez pas me dire que c'est logique ? Il y en a qui saute d'une falaise, ils vont tous sauter. Suicide Club aussi, non ? En plus, même s'il y en a un en tort, ils vont tous mentir et assurer qu'il a raison quand bien même ils savent qu'il a tort.
- Objection ! Où veut en venir l'accusation ?
- J'y viens, deux minutes, papillon ! Je disais donc, les moutons partagent un même cerveau et sont des hypocrites, des menteurs. Le pire ? C'est qu'ils se multiplient plus que les lapins !
- Et je suis sûre que tu t'y connais, en lapins...
- Allons, Vitany ! Ce n'est pas le lieu pour parler des prouesses sexuelles de ton adversaire. Reprend, Adriel.
- Les moutons, c'est contagieux. C'est comme un virus qui s'attrape par une fréquentation trop poussée. Les chiffres augmentent rapidement alors comment l'humanité pourrait-elle survivre à un tel fléau ? Sincèrement ? Un jour, nous bêlerons tous en choeur en poignardant les autres dans le dos et en mentant comme des arracheurs de dents. Nous retournerons à notre état animal et mourrons tous parce que le mouton n'est certainement pas l'animal le plus résistant.
- Bien. Défense ?
Silence.
- Hm, hm ! DEFENSE ! Arrêtez donc de reluquer les fesses de l'accusation et venez exposer votre défense !
- Oh, euh, oui, bien sûr. C'est que... euh... J'ai oublié, là, d'un coup.
- Bêêêêêêêêêê !
- Oh, toi, tais-toi ! J'ai bien le droit, non ? Et puis, tu veux que je te défende comment ? Tu as tous défauts du monde ! Tu mens, tu trahis, tu ne penses pas par toi-même... Qu'y a-t-il à dire ? Tu es faible ! Tu trembles devant l'ennemi même quand le reste le reste du troupeau est derrière toi... Je veux bien défendre des cas désespérés mais toi, t'es trop désespéré pour moi.
Adriel éclate de rire.
- Si j'avais su que mes fesses pouvaient me faire gagner un procès, j'aurais essayé plus tôt ! Ca m'aurait vachement aidé durant mes témoignages au FBI !
Vitany peste.
- Bon, je crois que ce procès est vite réglé. Je vais mettre fin à tout ça avant qu'ils ne copulent contre le bureau. A la semaine prochaine, les amis !

 
L'extrait
- Tu crois que j'ai peur de toi, Porteur ? Tu as peut-être annihilé ces débiles mais je suis trop fort pour un néophyte dans ton genre.
- Mais c'est qu'il étale sa culture, persiflai-je. Et tu ferai bien d'avoir peur de moi parce que tu vois l'illuminée que t'as foutue dans le fossé ? Jusqu'à preuve du contraire, elle est sous ma protection. Ce qui signifie que tu vas morfler.
Chapitre 10 - Tome 1
La vidéo

Ce clip est juste génial !

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